Portrait d’auteure : Diane Averland

Bonjour, je vous propose de faire connaissance avec Diane Averland, auteure du roman Alphonsine édité par https://plume-edition.fr/ , avec laquelle j’ai signé (mon blog) le partenariat. Si vous cherchez une maison d’édition, très à l’écoute des auteur(e)s, contactez-les.

Peux-tu te présenter en quelques lignes ?

Je m’appelle Diane Averland, je suis mariée, j’ai une petite fille de 10 ans, un chihuahua à poils longs et un poisson combattant. Avant d’être écrivaine, j’étais une lectrice boulimique qui s’évadait grâce aux histoires des autres. Après un baccalauréat et un début d’études de droit, je me suis dirigée dans le secteur de l’hôtellerie de luxe et de l’évènementiel dans lequel j’ai oeuvré avec intérêt pendant 15 ans. Cela fait un peu plus d’un an que je me consacre entièrement à l’écriture et à divers travaux dans le domaine littéraire.

1/ Quand as-tu commencé à écrire ?

J’écris depuis enfant, ça a commencé par des poèmes. Et puis au collège, j’ai eu le déclic grâce à une excellente professeure de français, Mme Audoin. Elle m’a transmis son amour du français et de la littérature qui ne m’a pas quittée depuis. Je me suis mise à dévorer les romans à cette époque.

2/ Qu’est-ce qui t’a donné envie d’écrire ?

Etrangement, au début j’y ai été « forcée ». Outre les poèmes que je faisais enfant pour essayer d’imiter les poètes et de tester mes capacités, mes premières histoires construites l’ont été en classe de français (toujours avec la même professeure), où l’on nous demandait de faire des compositions écrites. Je me suis rendue compte que j’adorais ces épreuves et que j’avais plus de facilités que certains pour m’exprimer par écrit. Et puis dernièrement, alors que j’avais complètement abandonné cette passion de l’écriture pour gagner ma vie, je me suis dit que cela me manquait trop. Comme je suis quelqu’un d’assez sauvage, écrire est mon seul moyen d’expression. Il y a 5 ans, je me suis mise à mon premier roman, Alphonsine, en y consacrant une heure tous les soirs après mon boulot.

3/ Avant la publication de ton livre, connaissais-tu d’autres écrivains, éditeurs ?

Bien sûr, je connaissais et j’étais amoureuse de beaucoup d’écrivains : Albert Cohen, Nathalie Nothomb, Bernard Werber, Isaac Asimov et Orson Scott Card pour la science-fiction. Verlaine pour la poèsie… J’avais appris à aimer Emile Zola, Jean-Jacques Rousseau, Victor Hugo et bien d’autres encore. Par contre, je n’y connaissais rien en maison d’édition !

4/ Comment t’est venue l’idée de te faire publier ?

Au début, je n’y pensais pas vraiment, j’avais surtout écrit pour moi. Il y a d’ailleurs beaucoup de moi, d’anedoctes réellement vécues dans mon premier roman. Et puis, quand j’ai fait lire Alphonsine à une amie, et qu’elle l’a passé à sa soeur puis à sa mère tellement elle l’avait aimé, je me suis dit que cela pouvait plaire à d’autres que moi. Surtout, c’est elle (Claire) qui m’a poussée et encouragée à me faire publier.

5/ Pendant que tu écrivais, as-tu pensé à l’auto-édition ou à passer par une maison d’édition ?

Je n’y pensais pas pendant que j’écrivais, mais quand il a fallu réfléchir à me faire publier, j’ai opté pour une maison d’édition. Car je n’y connaissais rien ! Et j’ai besoin d’être aidée et soutenue pour promouvoir mon livre, cela représente un énorme travail et je ne suis pas faite pour toute cette partie autour de la création même. D’ailleurs, je remercie ma maison d’édition, La Plume de l’édition, qui se démène pour que nos oeuvres soient connues, elle est à l’écoute et bienveillante, je la conseille vivement.

6/ Te rappelles-tu de ton sentiment quand ton premier livre a été publié ?

Oui, j’ai sauté de joie ! Quand j’ai ouvert le colis avec mes exemplaires, je n’avais jamais rien vu de plus beau, excepté ma fille au moment de sa naissance, bien sûr !

7/ Au moment de la sortie de ton livre, en as-tu parlé publiquement ?

Eh bien, pas vraiment. Je n’avais pas encore de compte facebook à l’époque, je n’étais inscrite à aucun réseau social. J’en ai parlé à ma famille et à mes amis. Ce n’est que plus tard que j’ai commencé à oser en parler, à oser en faire la promotion. J’ai contacté le journal de ma ville qui m’a dédié un portrait dans son numéro de juin, je me suis mise en relation avec la librairie de ma ville qui a accepté de prendre plusieurs exemplaires de mon roman après l’avoir lu, et évidemment, j’ai créé un compte instagram et une page facebook sur lesquels je communique.

8/ As-tu publié plusieurs romans ? Un nouveau est-il en cours d’écriture, futur proche ou lointain ?

A ce jour, seul Alphonsine a été publié car mes autres projets ne sont pas prêts. Dans mes tiroirs, j’ai une dystopie en trois tomes (en cours de finalisation) et un roman fantastique pour grands enfants sur demande expresse de ma fille !

9/ As-tu participé à des concours littéraires, des séances de dédicaces, des salons du livre ?

Malheureusement, la période n’a pas aidé les auteurs à se faire connaître, je crois. Mais maintenant que la vie reprend, j’ai l’intention de participer à des séances de dédicaces chez Cultura par exemple (avec qui j’ai pris contact), à la médiathèque de ma ville, à des salons du livre… Pour ce qui est des concours, je viens justement de participer à un concours de nouvelles organisé par Librinova et le magazine Lire. On verra bien !

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