Bonjour, je vais vous faire le retour du roman d’Adèle Bréau : Frangines. Difficile d’en faire un sans être très négative. Je vous laisse lire le résumé :
Mathilde, Violette et Louise sont sœurs. Depuis l’enfance, elles vivent leurs plus belles heures à La Garrigue, une bâtisse que leurs parents ont achetée autrefois à Saint-Rémy-de-Provence. Tout les oppose et pourtant rien ne peut séparer Mathilde, éblouissante et dominatrice, Violette, qui a grandi dans l’ombre de son aînée, et Louise, la benjamine, née des années plus tard. Cet été, les frangines se réunissent dans la demeure familiale pour la première fois depuis le drame de l’année précédente. Entre petites exaspérations et révélations inattendues, ces retrouvailles vont bouleverser à jamais leur vie. Car les murs de La Garrigue, gardiens des secrets de trois générations, ne les protégeront peut-être plus.
Avec délicatesse et humour, Adèle Bréau nous plonge dans une histoire de famille qui pourrait être la nôtre et nous fait passer du rire aux larmes.

Mon avis :
Malgré beaucoup d’avis positifs sur ce roman, je dois dire que je n’ai pas du tout accroché à l’histoire. J’ai trouvé beaucoup de longueurs, des situations sympas certes, mais j’ai dû abandonné le roman à la page 200 et il compte 334 pages. Ceci dit, je verrais si je lis un autre roman de cette auteure. J’ai trouvé qu’il manquait de punch, pas assez de tonus.
3 soeurs Alice, Violette et Louise se retrouvent pendant les vacances d’été dans la maison familiale, une belle bastide de St Rémy de Provence. Alice, mariée, mère de Léa et Paul, vit à Paris dans un bel appartement, avec une belle situation, très BCBG, plutôt coincée et avec des idées bien trempées sur l’éducation, l’organisation des vacances.
Violette, séparée du papa de Clarisse, vivent à Toulouse, est plutôt assez cool, plus que l’aînée, heureusement sinon cela ne serait vraiment pas drôle. Elle attend son nouveau compagnon.
Louise, la benjamine, habite proche de sa mère et qui va la voir régulièrement. Elle est infirmière. Elle se sent parfois un peu « rejetée » par ses aînées.
La vie bat son plein, les situations que beaucoup doivent connaître lors de réunions familiales qui durent assez longtemps.
Le meilleur est peut-être dans les 134 dernières pages. Dommage.
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oui c’est dommage mais je l’ai trouvé lent, j’ai déjà continué jusqu’à la page 200.
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