
Voilà le résumé que vous trouverez sur la quatrième de couverture (j’ai fait un copié/collé de celui de la Fnac).
Dans certaines familles, les repas de fêtes se suivent et se ressemblent : mêmes plats, mêmes convives, mêmes discussions. Sauf cette année. Il suffit d’un rien pour que les bonnes manières volent en éclat : non-dits, vieilles rancunes et mauvaise foi vont transformer le dîner de fête en un règlement de compte en bonne et due forme. Et si les repas de famille étaient enfin l’occasion de se dire les choses ? Des dialogues enlevés, des personnages hauts en couleur, Un roman drôle et jouissif ! Avec son talent unique pour…

Mon avis :
Nous sommes le 24 décembre, il est 7 h du matin, tout le monde dort tranquillement avant que toute l’effervescence des préparatifs de Noël se mette en route. Anne, se lève avec un mal de tête, alors qu’Antoine et ses deux enfants Léo et Tom sont dans les bras de morphée. Pas un bruit juste au moment où la sonnerie du téléphone retentit réveillant toute la maisonnée.
Dans toutes les familles, on se retrouve autour de la table, à réfléchir de ce que l’on va bien aborder comme sujet de conversations sans mettre le désaccord entre tous les membres. Seuls, les enfants sont impatients de découvrir leurs cadeaux et attendent impatiemment le passage du Père Noël pour les plus petits.
Dans ce roman, le sujet qu’a abordé Aurélie Valognes a essayé de mettre un point d’honneur pour que les lecteurs se retrouvent ou pas. J’ai aimé ce roman comme tous ses romans que j’attends impatiemment tous les ans à la même époque, où les fleurs commencent à sortir, les oiseaux chantent, le temps s’adoucit et devient plus clément et très agréable donnant davantage envie d’aller se promener.
Je ne peux que vous le conseiller comme tous les livres de cette auteure dont l’écriture reste fluide, agréable à lire et que les couvertures sont simples mais qui d’un simple coup d’oeil nous donne envie de le choisir et de le lire dans une chaise longue à l’ombre d’un arbre, sur une serviette de bain au bord de la mer.

